Bye, bye la consommation de cigarettes en toute tranquillité. Entre-temps, la numérisation est également arrivée chez les fumeurs. Mais si l’on considère les logiciels et les applications liés à l’e-cigarette, cette dernière semble presque être redevenue une vieille lune. Ce guide a pour but de présenter l’utilité du logiciel d’une e-cigarette, les possibilités existantes et les points faibles que les fournisseurs doivent encore éliminer.
Il existe différentes variantes de logiciels
Le logiciel de vapotage classique, qui se trouve sur l’e-cigarette, permet au fumeur de faire briller la cigarette de différentes couleurs. Le réglage de la température est une autre fonction que le logiciel peut commander. Le logiciel intégré de l’e-cigarette peut également fournir une horloge ou même un jeu.
En principe, le logiciel de l’e-cigarette se distingue par le système d’exploitation installé sur l’ordinateur. En d’autres termes, le vapoteur opte pour un logiciel Windows ou un logiciel Mac. Le logiciel peut généralement être téléchargé chez un revendeur spécialisé en e-cigarettes, comme Innocigs par exemple.
Lors du téléchargement d’un logiciel pour e-cigarettes, il faut tenir compte de ces facteurs :
- Les fumeurs doivent être conscients des risques que comporte le téléchargement d’un logiciel. C’est pourquoi il est particulièrement important de n’utiliser la fonction de téléchargement que chez un revendeur agréé. Les logiciels provenant de sources inconnues peuvent contenir des logiciels malveillants.
- Le logiciel doit être choisi en fonction de la fonction souhaitée par le vapoteur.
- Le logiciel proposé au téléchargement doit être adapté au modèle de cigarette électronique. Il est également possible de mettre à jour le logiciel déjà existant.
- Vous trouverez de plus amples informations sur le blog EcigaretteReviewed.
Rapport de tendance : l’eVic de Joyetech offre des possibilités d’analyse sur ordinateur
Le nombre de volts et de watts fait partie des valeurs classiques qui peuvent être lues par le logiciel de la cigarette électronique. Mais avec l’eVic, une toute nouvelle dimension entre en lice, qui peut faire du vapotage une véritable science. Sous le point „Surveillance du comportement de vapotage“, il est désormais possible de coupler l’e-cigarette et l’ordinateur et d’évaluer ensuite comment la personne fume et quelle batterie est ou a été utilisée pendant combien de temps.
Il indique également le nombre exact de bouffées déjà effectuées – et le nombre de bouffées pouvant encore être effectuées. Ceux qui risquent de consommer de la vapeur sans limites peuvent s’imposer un nombre maximal de bouffées possibles. Ainsi, le logiciel apporte également une forme de contrôle efficace.
Autre avantage : les réglages peuvent être initiés relativement rapidement via le logiciel, sans qu’il soit nécessaire de manipuler la petite e-cigarette. Mais il y a bien sûr aussi des inconvénients, notamment d’ordre mécanique, liés au couvercle de l’USB. De plus, il n’est pas encore possible techniquement d’adapter automatiquement le nombre de watts et de volts à l’atomiseur utilisé. Cette astuce peut toutefois être exécutée manuellement dans le menu.
Il existe des applications pour cigarettes électroniques à cet effet
Le logiciel qui se trouve dans l’e-cigarette peut être commandé par diverses apps ou simplement les compléter. Les apps correspondantes peuvent se charger de ces tâches :
- Elles documentent les objectifs individuels du vapoteur (économies potentielles et absence de fumée).
- Elles peuvent aider les fumeurs à obtenir le rapport de mélange et de dosage du liquide le plus apprécié individuellement. Ces applications ont également un effet de contrôle sur le vapoteur. En effet, un mélange irréfléchi des liquides pourrait également avoir des conséquences négatives.
- Elles peuvent aider à mélanger soi-même les liquides. Dans ce contexte, on propose même souvent l’option de créer une sorte de „livre de cuisine“ dans lequel le mélange des liquides peut être documenté.
- Vous pouvez calculer les économies qui ont pu être réalisées depuis que vous avez arrêté de consommer des cigarettes (y compris le calcul des dépenses liées à la cigarette électronique et aux accessoires de vapotage).
Le revers de la médaille : une mise en garde qui fait des vagues
L’Office fédéral de la sécurité des technologies de l’information, qui n’a vraiment pas à se préoccuper de la santé des fumeurs, a plutôt leur ordinateur dans le collimateur. Et c’est justement celui-ci qui est menacé, peut-on lire dans une information récente. Pour les sheriffs de la sécurité, le danger ne vient pas directement d’un logiciel, mais de la connexion de la cigarette électronique à l’ordinateur.
Sur leur site web, ils expliquent ainsi les dangers : „Si une micropuce contenant un code malveillant est cachée dans un appareil doté d’une prise USB, celle-ci peut pénétrer directement dans l’ordinateur via le port USB, et ce sans être arrêtée par un pare-feu. Cela réussit surtout si le périphérique USB est reconnu par l’ordinateur comme le périphérique d’entrée principal, comme le clavier par exemple, car celui-ci dispose souvent de droits d’accès étendus„.
L’ordinateur peut être infecté via le port USB. Un chargeur USB externe offre ici une alternative judicieuse pour protéger l’ordinateur contre les logiciels malveillants. Alternativement, une protection antivirus fiable pourrait être initiée par le fabricant afin de protéger les vapoteurs ou l’ordinateur contre les logiciels malveillants. Un câble de données USB, qui n’était pas explicitement fourni avec l’e-cigarette, peut également être une alternative pratique pour le consommateur. Les produits ESET pourraient également être une bonne option dans ce contexte.